Jean de la Fontaine


A également écrit un sonnet sur de la prise de Marsal :


« Monarque le plus grand que révère la Terre,
Et dont l'auguste nom se fait craindre en tous lieux,
Près de toi le pouvoir des plus ambitieux
A moins de fermeté que l'argile et le verre.
Marsal qui se vantait de te faire la guerre,
Baissant à ton abord son front audacieux,
Dès le premier éclair qui lui frappe les yeux,
Se rend et n'attend pas le coup de ton tonnerre.
Si la fierté rebelle eut irrité ton bras,
Qu'il se fut signalé par de fameux combats,
Et qu'il m'eut été doux d'en célébrer la gloire.
Mais ma muse déjà commence à redouter
De ne te voir jamais remporter de victoires
Pour manquer d'ennemis qui t'osent résister. »


Marsal:
devient une ville de garnison jusqu'en 1870, année où elle sera prise par les Prussiens. Elle a été bombardé en 1815. À la fin des années 1960, l'affaire du «mage de Marsal» défraie la chronique: les deux enfants de Maurice Gérard, qui dirigeait une communauté ésotérique, ont disparu mystérieusement